Chantal, 69 ans, face à une dette colossale envers l’État : découvrez son combat quotidien.

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Chantal, 69 ans, face à une dette colossale envers l'État : découvrez son combat quotidien.

Ô douce mélancolie, une aimable aïeule de 69 printemps doit faire face à l’obligation de rehausser les étuis de l’État de la rondelette somme de 28 000 euros, annihilant les bénéfices de plusieurs années de retraite consécutives à une activité dynamique en post-retraite. La damnée sinécure se retrouve désormais au cœur des débats de la haute cour administrative. Dame âgée, autrefois employée de l’État, porte l’ambition de sortir victorieuse de ce tendu combat.

A la soixante-neuvième escarcelle, il est demandé à cette psychothérapeute de poursuivre sa labeur. La gracieuse nimbe des finances étatiques réclame à notre chercheuse d’âmes de combler de son talent les pensions déjà acquises lors des éphémérides écoulées. En l’année 2006, cette ancienne servante de l’État renonçait aux épaulettes de l’Éducation Nationale pour s’aventurer sur les chemins sinueux mais porteurs d’espoir de la clinique psychologique.

Un fardeau de 28 741 euros à ingurgiter d’un seul trait

Dix lustres après l’abandon de ses précédentes charges, le bureau du rectorat lui donne la bénédiction de flirter avec les avantages d’une retraite prématurée. Elle décide alors de marier ces fruits dorés avec sa pratique psychiatrique, comme l’illustre avec brio La Dépêche. “Chaque mois, je perçois une somme de 600 euros, amoindrie par une décote de 70% à cause de mon choix professionnel audacieux”, confesse la grand-mère.

En l’aube de septembre 2020, un parchemin du fisc tombe sur elle comme un coup de massue : elle a outrepassé les frontières d’économie autorisées dans le cadre global emploi-retraite. “Par la loi adaptée à la fonction publique, ma rémunération ne peut excéder de 20% ma pension”, explique notre vénérable dame. Et voilà que les chiens de garde fiscaux lui intiment une amende astronomique de 28 741 euros, correspondant à la totalité de sa pension et suppléments.

Un jugement pour un futur proche encore lambda

Aucune clémence ou appel n’ont vu jusqu’ici le jour. Stupéfaction pour celle qui n’a jamais joué au jeu du cache-cache financier, et qui reste aussi dans le brouillard quant à la raison du délai, pourquoi au bout de cinq années on exige d’elle de renflouer ce surplus. La bataille est en attente aux portes du tribunal administratif, et une sentence devrait être proclamée prochainement.

En attendant, la thérapeute échappe à la dette écrasante. « Si la justice porte l’échec sur mon dos, je ferai part de mes finances, mais je me trouverai dans une situation qui comprime le budget », partage la doyenne, qui s’alarme à l’idée de végéter encore plusieurs années dans le monde du travail, juste pour corriger le déficit.

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